En cette journée, encore grisâtre pour changé sur cette ville pourris et à la suite de deux longues heures à entendre ces gamins boutonneux braillé comme des chats en chaleur, un café s'imposait. Le starbucks était certainement mon usine à caféine, et aussi l'un des seules endroit où le café était buvable. Je rentrai donc dans cette endroit plutôt calme car c'était le début d'après-midi. Je venais toujours à cette heure-ci pour être sûr qu'aucun imbécile ne pourrirait ma pause café. Je m'avançai tranquillement vers la caisse afin de commander un cappuccino dans lequel je rajouterai par la suite quelques alcools pour oublier ces affreux cris d'ado dépressif.

Quelques instants plus tard, la serveuse revînt avec mon gobelet remplit de cette délicieuse drogue. La caisse enregistreuse afficha 3$, et je glissai un billet de ce stupide jeu de monopoly auquel je n'avais joué. Je m'en allais en direction d'une table qui se trouvait au fond de la salle, pendant que la vendeuse m'interpellait sans que je lui prête aucune attention. Je pris une bouteille de vodka au passage et m'assis à la table. Le calme qui régnait dans la salle faisait vraiment du bien à mes pauvres oreilles. Je comptais bien profité de se moment et si quelqu'un envisageait de me le gâcher, il pouvait être sûr qu'il finirait dans le congélateur qui se trouve dans ma cave.